L’univers de l’intelligence artificielle a récemment été secoué par le lancement du modèle GPT-4o. Alors qu’un modèle d’IA est souvent censé surprendre et divertir, nous avons plongé dans le monde de l’humour généré par cette version pour évaluer sa créativité. Malheureusement, les résultats n’ont pas été à la hauteur des attentes.

Un humour sans éclat

Le modèle GPT-4o nous a présenté plusieurs blagues sur l’IA, mais celles-ci manquent cruellement d’originalité. Bien que grammaticalement correctes, ces vannes peinent à provoquer un vrai rire. Les plaisanteries se ressemblent et semblent trop sûres, sans véritable dose de créativité ni de surprise.

Comparaison avec ses prédécesseurs

Pour mieux comprendre cette déception, il est intéressant de comparer GPT-4o avec des modèles précédents comme GPT-3.5, qui, bien qu’il ait également ses faiblesses, avait su nous amuser avec quelques jokes bien senties. Voici quelques distinctions clés :

• ✓ **Originalité** : GPT-3.5 osait des jeux de mots et des références culturelles.
• ✓ **Variété** : Les blagues de GPT-3.5 couvraient des thèmes variés, tandis que GPT-4o reste confiné à des plaisanteries basiques.

Un appel à l’amélioration

Il est crucial que les développeurs prennent conscience de cette lacune. Le manque d’humour dans GPT-4o pourrait en fin de compte nuire à l’expérience utilisateur. L’intelligence artificielle, au-delà de ses capacités analytiques, devrait également être capable d’apporter un aspect ludique. Pour illustrer cette idée, prenons des exemples concrets :

• 😄 **Humour engagé** : Les blagues qui touchent à des sujets d’actualité ou qui jouent sur les stéréotypes culturels peuvent attirer un public plus large.
• ✨ **Créativité** : Promouvoir des modèles d’IA capables de créer des histoires ou des blagues singulières pourrait redynamiser le champ.